Léonard Georges James Fosbrooke baptisé le 19 novembre 1850 au Christ-Church à Sorel, fils Edmund Fosbrooke capitaine et d'Augustine Adèle Penton, marié à Marie Suzanne Emma Crebassa le 26 septembre 1877 à l'église St-Pierre-de-Sorel.
Léonard G J Fosbrooke était dans le grade de Bombardier dans le régiment de Grand Trunk Railway Brigade et avait reçu la médaille d'honneur à la Rivière Rouge en 1870. Fosbrooke. On dit que «Train blindé de l'armée de l'Union équipé d'artillerie durant la Guerre civile américaine. Les chemins de fer se répandirent rapidement à travers le Canada durant les années 1850 et 1860, la plupart étant gérés par le Grand Trunk Railway (maintenant le CN). La guerre civile faisant rage aux États-Unis souleva des inquiétudes concernant la sécurité des liens ferrovières canadiens, ce qui provoqua l'organisation de la brigade du Grand Trunk Railway. Cette unité de la milice volontaire canadienne, recrutée parmi les employés des chemins de fer, se composait de compagnies d'infanterie et d'artillerie qui étaient déployées le long des lignes ferroviaires au Québec et en Ontario».
Il a été échevin à la ville de Sorel en 1880 et possédait d'autres terrains dans la région. On le voyait comme actionnaire dans la compagnie du chemin à Sorel et de la Banque du Canada. Fosbrooke avait des parts dans la Revue Légal en 1891. Il était un homme d'affaire engagé dans son milieu et avait aussi un commerce sur la rue Du Roi à Sorel.
Léonard Georges James Fosbrooke écuyer gentilhomme avait hérité par sa mère le lot 6 et la ferme avec le «Cottage St-Lawrence» tous les bâtiments au 95 Chemin Ste-Anne à Sorel. Son épouse Suzanne Emma Crebassa était liée par la communauté de bien lors de son contrat de mariage avec lui le 25 octobre 1877 passé devant le notaire Jean Georges Crebassa.
La ferme Fosbrooke était devenue florissante. Dans le journal de l'agriculture illustré de du 4 mars 1890, on mentionne «Je n'ai jamais vu en Angleterre des carottes come celles que j'ai récoltées sur la ferme Fosbrooke en 1884, et elles contiennent de la vrai nourriture pour les vaches à lait. Ayant vu en 1884 sur la ferme de mon voisin M Fosbrooke, des pièces entières recouvertes de betteraves, carottes, navets et de choux superbes, qu'y cultivait Mr Jenner Furst je me décide à l'imiter et à faire l'essai. Signé Séraphin Guèvremont Sorel». Pages 44-46